Perdue dans le noir,
Je ne cherche qu'un peu d'espoir.
Condamnée à une éternelle solitude,
J'attend la libération de la décrépitude.
Ame moribonde traversant les mondes,
Je vois le temps passés et l'ame des ages changeaient.
Celui-ci avait des réves,celui-là une existence bréve,
O thanatos quand m'accorderas-tu cette trêve.
Je sens ton sang qui bat dans tes veines,
Je sens bouillir en toi cette recherche vaine.
Et dans l'étreinte de l'éternité te sera offerte la véritée,
Puis quand tu sentiras ce qui t'as été otée otée,
Tu me hairas pour ce qui t'as été donnée.